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Jules, French Liner

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Jules, French Liner
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2 novembre 2015

Notre-dame-de-Gravenchon, Galerie du Parc, 33ème Salon d'Automne

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Du 14 novembre au 27 décembre 2015, se tiendra le 33ème salon d'Automne à la Galerie du Parc de Notre-dame-de-Gravenchon.

42 artistes seront présents. N'hésitez-pas à venir nombreux pour admirer les différentes toiles ou tout simplement pour flâner dans un lieu d'une grande qualité.

Pour ma part, j'exposerai trois aquarelles dont celle présente sur l'affiche :

- France au Pier 88

- Hommage à l'équipe Cousteau

- Le Saint-Louis face à la houle des eaux britanniques

Jules

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2 novembre 2015

France amarré à l'AYAC !

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Quelques nouvelles du "France au Pier 88" exposé actuellement à l'AYAC, très bon salon de la ville d'Yvetot dont je recommande la visite avant sa clôture le 8 novembre.

En plus d'être à l'honneur sur l'affiche, qui sera bientôt posée dans les nombreux commerces normands, il sera également visible au 23ème salon d'Automne de Notre-dame-de-Gravenchon à la Galerie du Parc, un salon qui promet d'être de qualité en vertu des exposants qui seront présents.

Jules

26 octobre 2015

France au pier 88

France au Pier 88

Titre : France au pier 88

 

Format : 50 x 70 cm

 

Papier : Canson 300g/m2

 

Date : Juillet 2015

 

Prix (price) : Collection privée

  

Histoire de l’œuvre :

 

Par le passé, j’ai mis en scène le France dans deux aquarelles. La première était un essai à mes débuts en 2013, pas des plus réussis je l’admets volontiers. La seconde était meilleure mais a déjà pris un sérieux coup de vieux (voir les photographies pour constater les progrès !). Pour cette troisième réalisation, j’ai voulu travailler davantage la technique par le biais d’un effort particulier apporté aux reflets, aux volumes, aux nombreux détails sur la plage avant et même à la mise en scène plus soignée.

Le magnifique fleuron de la French Line glisse doucement sur les eaux calmes de l’Hudson quittant ainsi le pier 88 aidé par trois remorqueurs. Adieu New York et en route pour Le Havre !

26 octobre 2015

Hommage à l'équipe Cousteau

Hommage à l'équipe Cousteau

Titre : Hommage à l’équipe Cousteau

 

Format : 50 x 70 cm

 

Papier : Canson 300g/m2

 

Date : Juillet 2015

 

Prix (price) : 200 euros

  

Histoire de l’œuvre :

 

Passionné depuis l’enfance par l’épopée de l’équipe Cousteau je ne pouvais continuer à peindre la mer et les navires sans rendre hommage à ces hommes qui ont influencé durablement mon attrait pour le grand large. Ainsi, cette peinture met en scène, au premier plan, un zodiac qui revient à allure modérée vers la Calypso lors d’une de ses rares rencontres avec sa petite sœur Alcyone lors de l’expédition en Indonésie. Dans le ciel, l’hélicoptère Félix saisi cet instant mémorable.

 

Histoire des navires :

 

Calypso

 

D’abord lancé en 1942 par les chantiers maritimes de la Ballard Marine Railways Company, à Seattle (Etat de Washington, Etats-Unis) en tant que dragueur de mines en bois pour la Royal Navy sous le nom de BYMS-26, celui-ci est rebaptisé Calypso, du nom de la nymphe de la mythologie grecque. Le navire devient ensuite un ferry entre Malte et l’île de Gozo après la Seconde guerre mondiale. En 1950, le milliardaire irlandais Thomas Loel Guiness achète la Calypso pour la transformer en yacht de luxe. Il décide finalement de la louer à Jacques-Yves Cousteau qui recherchait un bateau dans le but de le transformer et de l’aménager en navire d’expéditions et de base de soutien pour la plongée, la recherche océanographique et les tournages de films. Très vite la Calypso va devenir un emblème de la protection et de l’étude de la vie marine et même une star de cinéma en apparaissant dans la plupart des films de l’équipe Cousteau. En janvier 1996, suite à une collision avec une barge, elle coule dans le port de Singapour. Renflouée et remise à flot elle va hanter respectivement les ports de Marseille et de la Rochelle. Le 11 octobre 2007 elle est remorquée vers Concarneau pour y être restaurée. En raison d’un litige entre « l’équipe Cousteau-Cousteau Society » propriétaire du navire et les chantiers navals Piriou les travaux ont cessé. A l’heure actuelle, Calypso demeure oubliée dans un hangar et attend que les hommes la rendent à la mer…

 

Alcyone

 

Surnomée affectueusement « la petite sœur de la Calypso », Alcyone, du nom de la fille du dieu des vents Eole, s’élance pour la première fois sur les flots en 1985. Derrière cette allure qui ne ressemble à aucune autre, se cache un navire révolutionnaire. En effet Alcyone est conçue pour limiter la pollution et économiser le carburant. Ces deux voiles métalliques, appelées Turbovoiles, et ressemblant à des cheminées sont quatre fois plus efficaces que des voiles standards. Ce renfort permet à l’équipe Cousteau d’élargir son champ d’action. Ainsi après avoir vogué aux quatre coins du globe, du Canada en Australie en passant par le Cap Horn, Alcyone attend aujourd’hui des jours meilleurs dans le port de Caen.

25 octobre 2015

Aquarelles présentées au salon de Froberville (salle Leonard-de-Vinci)

Exposition à la salle Leonard-de-Vinci  du 29 août au 13 septembre 2015 pour le 21ème salon de Froberville.

 

Froberville 2015

 

Deux nouvelles aquarelles (que je présenterais par la suite) ont été exposées pour ce salon :

- France au Pier 88

- Hommage à l'équipe Cousteau

Un grand merci à Pedrito et son équipe pour leur accueil et leur excellente organisation.

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5 juillet 2015

De Grasse, accostage au Pier 88.

 

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Titre : De Grasse, accostage au Pier 88.

 

Format : 50 x 70 cm

 

Papier : Canson 200g/m2

 

Date : Juin 2015

 

Prix (price) : Collection privée

  

Histoire de l’œuvre :

 

Ce travail s’appuie sur une photographie des années 1950 montrant le paquebot De Grasse accoster au Pier 88 de New York. L’idée de cette peinture était de reproduire cette scène à partir de la photographie en noir et blanc et d’y associer les couleurs de mon choix. J’ai donc choisi d’imaginer le petit paquebot de la French Line arriver à New York à l’aube sous une lumière rasante. Il était alors important de souligner ces lumières matinales particulières et de jouer tout particulièrement avec les ombres ainsi qu’avec les reflets afin d’insuffler à cette peinture une atmosphère toute particulière.

 

Histoire du navire :

 

Ce navire a été commandé par une compagnie allemande et devait initialement être nommé Suffren. Mais durant sa construction aux chantiers de Cammell Laird & Co à Birkenhead, l’Allemagne le cède à la France qui le renomme De Grasse.

Le paquebot entre en service en août 1924 sur la ligne Le Havre-New York et est légèrement modernisé à partir de 1931.

Lorsqu’éclate la Seconde Guerre mondiale, le navire est militarisé. Ses hublots sont obstrués et les ponts sont dotés d’un léger armement. Transformé en transport de troupes au printemps 1940, il est désarmé en mai dans le port de Bordeaux où il sert de caserne flottante pour les troupes de la Wehrmacht puis pour les sous-mariniers italiens venus prêter main-forte aux allemands pendant la bataille de l’Atlantique.

L’occupant rend le navire au gouvernement de Vichy qui l’utilise comme navire-école sur la Gironde en 1942. Durant leur retraite, les forces allemandes le coulent à son poste d’amarrage à Blaye en août 1944. En 1945 il est renfloué et totalement remis en état aux chantiers Penhoët de Saint-Nazaire qui le modernise considérablement. A son retour en mer, il n’a plus qu’une cheminée. Il est le seul paquebot permettant d’assurer « l’intérim » de l’Ile-de-France jusqu’en 1949 sur la ligne de New York. Affecté pour sept rotations sur la ligne des Antilles, De Grasse est vendu en 1953 à la Canadian Pacific qui le rebaptise Empress of Australia et où il effectue des traversées sur la ligne régulière Liverpool-Québec-Montréal. Le paquebot est détruit par un incendie en janvier 1953. La Siosa Line décide de le racheter en février 1956 et le rebaptise Venezuela. L’ancien navire de la Transat regagne la ligne des Antilles et de l’Amérique centrale. En 1962 il s’échoue sur des écueils en baie de Cannes. La même année il est vendu à la démolition à La Spezia après une carrière de 40 ans.

11 février 2015

Liberté sur la ligne de New York

Liberté sur la ligne de New York

Titre : Liberté sur la ligne de New-York

 

Format : 50 x 65 cm

 

Papier : Canson 200g/m2

 

Date : Février 2015

 

Prix (price) : 200 euros

 

Règlement par Paypal ou par chèque.

Livraison par rouleau (frais de livraison compris dans le prix)

Contactez-moi à l’adresse suivante : a_clockwork_orange@hotmail.fr

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Payment by Paypal (international)

Delivery roller (shipping cost included in the price)

Contact me : a_clockwork_orange@hotmail.fr

 

Histoire de l’œuvre :

 

Cette aquarelle fut pour moi l’occasion de travailler davantage une mer agitée et vraisemblablement froide, caractéristique de l’océan Atlantique. Une attention particulière a été accordée aux mouvements des vagues tumultueuses et à l’écume. Le transatlantique Liberté semble ainsi lutter pour se frayer un chemin entre les creux de la houle. Le contraste avec un ciel jaunit paraîtra osé mais j’ai tout de même voulu tenter, tout comme le point de vue probablement adopté depuis le pont d’un autre navire, comme le témoigne l’imposante vague du premier plan.

 

Histoire du navire :

 

Liberté n’a pas fait toute sa carrière à la Transat, il battait auparavant pavillon allemand sous les couleurs de la Norddeutscher Lloyd et se nommait Europa, sister-ship du Bremen. Après avoir coulé une première fois en 1928, date de son lancement, il est mis en service sur la ligne Bremerhaven-Cherbourg-Plymouth-New York. En 1930 il remporte le Ruban Bleu lors d’une traversée en 4 jours à la moyenne de 27,91 nœuds. Lors de la Seconde Guerre mondiale, il est utilisé comme caserne flottante à Bremerhaven. Il était prévu que ce navire joue un rôle dans les plans d’invasion de l’Angleterre ébauchée en 1940 par les nazis. En mai 1945, l’US Navy saisit le navire qui n’a été victime d’aucun dommage durant le conflit, et l’utilise jusqu’en mars 1946 comme transport de troupes sous le nom d’AP177. Dans le cadre des accords Byrnes Blum de 1946, il est cédé à la France en compensation partielle de la destruction du Normandie. Il devait, à l’origine, porter le nom de Lorraine mais celui de Liberté lui sera préféré. Dès 1946 des travaux sont effectués au Havre avant une remise en service prévue pour 1947. Malheureusement, entre-temps, il coule une seconde fois après qu’une violente tempête lui fit rompre ses amarres et percuter l’épave du paquebot Paris, chaviré dans le port en 1939. Renfloué en 1947, la Compagnie Générale Transatlantique décide de l’envoyer subir une refonte complète aux chantiers de l’Atlantique de Saint-Nazaire. Après de multiples incidents dont un incendie, le navire est remis à neuf et quitte enfin Le Havre le 17 août 1950 pour son voyage inaugural à destination de New York. Il est le plus grand paquebot français en service et, de fait, flagship de la compagnie assurant le service sur l’Atlantique Nord en compagnie du De Grasse et de l’Ile-de-France, ce dernier assurant le succès d’un brillant tandem commercial. Il effectue sa dernière traversée en direction de New York le 2 novembre 1961 avant d’être remplacé par le France sur la prestigieuse ligne en 1962. Après 200 voyages entre 1950 et 1961, 400 000 passagers transportés et 1 316 000 milles parcourus, Liberté est démoli en Italie à La Spezia le 30 janvier 1962.

20 janvier 2015

Nouvelle vie pour le Flandre.

Nouvelle vie pour le Flandre

Titre : Nouvelle vie pour le Flandre.

 

Format : 50 x 65 cm

 

Papier : Canson 300g/m2

 

Date : Janvier 2015

 

Prix (price) : 200 euros (non encadré)

 

Règlement par Paypal ou par chèque.

Livraison par rouleau (frais de livraison compris dans le prix)

Contactez-moi à l’adresse suivante : a_clockwork_orange@hotmail.fr

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Histoire de l’œuvre :

 

Malgré le titre de l’œuvre, le navire que vous pouvez observer n’est pas le SS Flandre de la Compagnie Générale Transatlantique. Disons plutôt qu’il ne s’agit plus du SS Flandre mais du Carla C de la compagnie Costa Crociere.

Je voulais démontrer, à travers cette mise en scène, qu’un navire ne meurt jamais vraiment. Outre son souvenir après sa démolition, celui-ci vit toujours à travers les photographies, les peintures ou tout autre document l’évoquant. Il vit également sous son premier nom même lorsqu’il a été rebaptisé. On reconnait sur cette aquarelle la ligne de l’ancien liner de la French Line navigant vers de nouveaux horizons plus cléments que la difficile ligne de New York. Ici le Carla C vogue vraisemblablement dans les Caraïbes sous des latitudes tropicales. Les deux remorqueurs l’abandonnent à la sortie d’un port insulaire pour le laisser prendre le large vers d’autres destinations.

 

Histoire du navire :

 

Avant de prendre l’appellation Carla C, cet élégant petit paquebot n’était autre que le SS Flandre de la Compagnie Générale Transatlantique. Au début des années 1950, la Transat choisit de mettre en service deux navires sur la ligne des Antilles. En 1953, Flandre est lancé, il sera rejoint peu de temps après par son sister ship Antilles. Finalement la compagnie décide de remplacer le De Grasse vieillissant par le Flandre sur la ligne de New York. Son voyage inaugural a lieu en juillet 1952. Le navire est en proie à de nombreux problèmes et incidents techniques qui l’immobilisent durant de longues périodes. Lorsque France entre en service en 1962, Flandre est transféré sur la ligne des Antilles et de l’Amérique centrale. Il est évidemment repeint en blanc comme son sister ship. Seule différence entre les deux navires, la cheminée du Flandre n’a pas été rehaussée comme celle de l’Antilles. Flandre, n’ayant jamais su conquérir une large clientèle, est revendu en 1967 à l’armateur Costa au bout de cinq saisons complètes. Réutilisé comme bateau de croisière après une vaste transformation, il est rebaptisé Carla C en 1968. Affrété par Princess Cruises, bien qu’exploité sous le nom Princess Carla, son nom officiel demeure le Carla C. C’est à cette période que des producteurs de télévision ont l’idée de créer la série populaire « Love Boat » (« La Croisière s’amuse ») à bord du Carla C. Les premiers scripts seront écrits à bord du paquebot.

Après la perte du Fulvia, Costa annule le partenariat avec Princess Cruises et le Carla C prend les couleurs Costa. Jusqu’en 1974, le paquebot vogue dans les Caraïbes avant que des problèmes de chaudières poussent la société Costa a équiper son navire d’un moteur diesel. Après ces modifications mécaniques, le Carla C reprend la mer pour les Caraïbes jusqu’en 1992.

Après une dernière refonte en 1984, le Carla C devient le Carla Costa en 1986.

Le navire est un habitué des quais de San Juan à Porto Rico, sur lesquels il s’amarre tous les samedis. Son itinéraire inclus les villes de Curaçao, Caracas, la Grenade, la Martinique et Saint-Thomas.

En 1992, la compagnie grecque Epirotiki le rachète et le rebaptise Pallas Athena du nom de la déesse grecque Athéna Pallas. Affecté à des croisières de sept jours au départ d’Athènes, il navigue des îles de la mer Egée aux îles Turcs. Le 24 mars 1994, un incendie se déclare à bord et détruit partiellement le navire. Cet ultime incendie le conduit à Aliaga en Turquie pour y être démoli durant l’année 1995.

Le Pallas Athena était le dernier liner en activité ayant servi pour la French Line.

 

 

 

12 janvier 2015

Coup de cœur de début d’année

Voici un lien vers le site Internet d'un artiste nommé Willem Johan Hoendervanger :

 

http://www.wjmaritiem.nl/

 

Je vous invite à admirer son remarquable travail sur les navires et leur mise en scène d’un réalisme époustouflant. Aussi à l’aise à l’aquarelle qu’à l’huile, Willem Johan nous emmène aux frontières de la photographie.

Peintre professionnel hollandais, il a exposé dans son pays mais également en Belgique. Outre des commandes pour les particuliers, des sociétés se tournent vers lui pour peindre leurs navires. C’est le cas, par exemple, de la compagnie hollandaise Vroon ou bien du port de Rotterdam.

Les navires représentés sont souvent récents (Pool Express, Sebring Express) mais Hoendervanger sait aussi réaliser des bateaux plus anciens pour mieux les faire revivre (le Bremen, le Prinses Margriet)

Si vous êtes intéressés par le travail de Willem Johan, il est possible de le contacter à partir de son site Internet ou via Linkedin.

 

Charlie

6 janvier 2015

Bonne année 2015 de la part de Jules / Happy New Year 2015 on behalf of Jules

Je veux voir la mer

Un peu de douceur pour commencer cette nouvelle année avec cette peinture de Sylvain Delente intitulée « Je veux voir la mer ».

 

Excellente année 2015 et un grand merci aux internautes qui ont fréquenté ou qui fréquentent régulièrement le blog Jules Frenchliner ouvert seulement depuis le mois d’octobre 2014 !

J’espère vous retrouver aussi nombreux en 2015 !

 

A bientôt sur nos lignes !

 

Jules

 

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A little sweetness to start the new year with this painting signed by Sylvain Delente untitled “Je veux voir la mer”.

 

Happy New Year, and thanks a lot to people who attended or who regularly frequent the blog Jules Frenchliner open only since October 2014!
I hope to see many of you in 2015!

See you soon on our lines !

 

Jules

 

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